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MON PARCOURS : PLUSIEURS VIES PROFESSIONNELLES


Milieu des années 70. Envie d'indépendance. Trouver du travail ? Facile, même sans diplôme.

Je suis ainsi ouvrier pépiniériste, manutentionnaire, bandothécaire, vendeur de fromages à la coupe, aide-animalier dans le département toxicologie d'un laboratoire, commis auxiliaire chargé du recensement de la population, puis employé à la Direction des Affaires Sociales et Culturelles de la Ville d'Orléans...

1981. Animateur dans les premières radios « libres » de l'Orléanais, j'y prends également quelques responsabilités. Puis j'entame des études supérieures en AES à l'Université d'Orléans-La Source. Ce cursus, à mi-chemin entre l'économie et le droit, a été inventé ici. Les options y sont nombreuses et de qualité.

Sensible à l'actualité et avide de découvertes, je consomme déjà beaucoup de presse et de cinéma. J'ai dans l'idée de devenir journaliste, sachant que la profession recrute au compte-gouttes, souvent à BAC +3. La licence AES obtenue me donne les bases de l'économie, du droit et de la sociologie.

Pour financer ces études, je travaille. Agent Commercial Mandataire pour une compagnie d'assurances, Agent des Services Hospitaliers en blanchisserie, en gériatrie, en neurochirurgie...

1984. Grand virage : l'Institut Français de Presse, situé à l'Université de Paris II Assas. Deux ans de culture générale des médias et de leur environnement, suivis d'un DESS de Techniques d'Information et de Communication, en clair une formation de journaliste écrit, parlé et télévisé.

Le journalisme reste une piste sérieuse. Cependant, je constate qu'il y a comme un mur entre les journalistes et les gestionnaires d'entreprises de presse. De même, la promotion de l'écrit échappe bien souvent aux journalistes. Quel paradoxe ! Nous qui maîtrisons parfaitement la fabrication des contenus, ne sommes nous pas les mieux placés pour aider à les vendre ?

PROMOTION DE PRODUITS DE PRESSE ET D'EDITION PROFESSIONNELLES


1987. DESS obtenu, et convaincu que la presse n'est pas un produit comme les autres, j'intègre le mensuel Sciences et Techniques, en tant que responsable de la diffusion. Le poste est plus particulièrement orienté abonnements. Le titre est racheté à l'Expansion par L'Evénement du Jeudi.  Nous transformons le magazine en Sciences et Technologies.

Puis je m'investis au service d'un petit éditeur qui publie L'Infirmière Magazine, en tant que responsable de la promotion. Je contribue ainsi au rayonnement d'une, puis de plusieurs publications spécialisées. Sans oublier les ouvrages paramédicaux, ni les salons et autres manifestations que nous organisons.

En terme de compétences, je me suis ainsi livré à la sélection des fichiers pertinents, à la rédaction de multiples documents promotionnels, à leur réalisation avec des graphistes internes ou indépendants, au choix de cadeaux originaux, à la promotion directe auprès de relais qui pouvaient aussi bien être des DRH que des chefs d'entreprises regroupés en associations, au contrôle de la distribution en relais sélectifs, à la promotion terrain avec des stands itinérants en écoles et congrès...

1993. J'envisage de décliner ce savoir-faire acquis dans la presse et l'édition professionnelles vers la télévision par câble. Le domaine se développe, et bon nombre de nouvelles chaînes proposent des programmes nourrissants. D'où une formation « communication des réseaux câblés et communications de l'entreprise » à L'Université de Paris VIII. Cependant, je trouve le secteur peu imaginatif et plutôt figé en terme de vente et de promotion.

C'est pourquoi je reviens à la presse. Je valorise CD Rama, un mensuel pionnier et visionnaire traitant du « multimédia » au service de l'entreprise. Il ne tiendra pas. Pour mémoire, vous êtes-vous connecté à Internet en France en 1994 ? Puis je deviens concepteur-rédacteur pour Bréal, un éditeur orienté scolaire et enseignement supérieur.

JOURNALISME


1997. Séduit par le concept de publication rédigée en plusieurs langues et à diffusion européenne, je deviens journaliste pour L'Européenne de Presse et d'Information, qui en édite plusieurs. Il s'agit de présenter des territoires, des politiques publiques, des secteurs d'activité, des entreprises, le rôle et l'apport des agences de développement économique... Ainsi, je rédige de multiples sujets, des rédactionnels et aussi des publi-reportages. Mais la société a des difficultés.

2000. Cette année là, la « bulle » Internet éclate. Peu sensible aux sirènes de la « nouvelle économie », je crois cependant à la valeur des contenus produits différemment pour se voir consommés sur écran. Prudent, je me forme à l'Ecole Multimédia. 

L'investissement porte ses fruits, car je deviens aussitôt après ladite formation journaliste en ligne pour la toute nouvelle partie grand public « hommes, territoires, produits » du site Web du Ministère de l'Agriculture. Mais la crise de la « vache folle » monte en intensité. Le Ministère réoriente ses priorités en information et en communication.

2001. Le petit monde de l'Internet et du Web digère difficilement l'éclatement de la « bulle ». Plus question de journalisme en ligne pour l'instant. Retour à l'entreprise « classique », Actifleau, en tant qu'Assistant de Direction.

ORGANISATION, GESTION ET DEVELOPPEMENT, ENSEIGNEMENT DU JOURNALISME EN LIGNE

Cette petite société installe des systèmes d'arrosage automatique et envisage de créer une activité fontainerie. J'y prends rapidement des responsabilités, telles la gestion de la trésorerie ou la gestion administrative du personnel et des formations, en liaison avec un cabinet spécialisé. Je gère également la clientèle des particuliers. Et d'une manière générale, je mets de l'huile dans les rouages partout où nécessaire. L'activité fontainerie se développe de manière soutenue, les projets gagnent en ampleur et en créativité. Jusqu'à la crise financière.

Je ne quitte pourtant pas complètement le monde de l'information durant ces sept années (2001-2008). Car je crée et anime en parallèle un module semestriel de journalisme en ligne pour des BAC +1 et BAC +2 de l'ISCOM, un institut privé en communication, de 2002 à 2006.

Avant d'accepter ce défi, j'interroge plusieurs Webmestres et journalistes. Je visite également quelques rédactions, parmi lesquelles celle de Transfert. Ce pionner du journalisme en ligne est directement issu du Web et il décline sa marque sous forme de mensuel papier. La complémentarité entre les deux supports est très pertinente : l'édition écran développe tout ce que le papier ne pourrait offrir.

C'est dans cet esprit que je me propose de travailler avec vous.

A très bientôt !

Bruno CARDON